The Perfect Project

007 - Premier Contact



Première Partie : A Destruction For A...



Le chasseur tomba en arrière en regardant tous ces compatriotes et voyait défiler sa vie devant ces yeux. Peu a peu il se voyait tomber sans rien pouvoir faire pensant a ce que aurait pu être sa vie sur Krystal au coter de ces parents. Car après tout, il venait de fêter son 18em anniversaire et a très peut de souvenir de ces parents qui a vu pour la dernière fois du haut de ces 11 ans. Comment pouvait-il dire adieu à tout cela ? Lorsque tout a coup sa chute se stoppa à son plus grand étonnement. Une douleur dans le bras droit lui fit lever la tête

- Ce n'est pas encore l'heure de mourir, chasseur Okajin ! La voix métalliques de Dark Ax ayant agrippé son bras droit au dernier moment lui raisonner dans le tympan. Ce dernier le hissa sur la terre ferme.
Les grondement assourdissant accompagner des tremblement provoquèrent une ambiance apocalyptique au sein de la population. Beaucoup de personne était couverte de sang tandis que d'autre, moins chanceux, était ensevelis sous les gravas d'une battisse trop fragiles. Le principale essayer tant bien que mal de rester dans son fauteuil, quant au membre de l'OPTIC qui patauger dans 20 centimètre d'eau tentaient de minimiser les dégâts tout en évitant de s'électrocuter.

- Le Dôme est touché, une grande fissure est apparue, mais il tiendra.
- Plusieurs secteurs de la ville on était sérieusement touchée par le second impact, on compte une dizaine de bâtiment effondrée.
- Le système de refroidissement est endommagée, si nous forçons trop sur les moteur nous courons à la l'explosion.
- Le système de pluie et défaillant, impossible d'arrêter les averse sur la ville.
- Il y a une faille importante dans le système informatique générale, on ne contrôle plus rien. Il va falloir restauré le système. Ce qui veut dire que pendant une heure se sera le black-out total. Nous attendons vos ordres, Principal.
- Vous allez… Le Principal ferma les yeux, calma sont souffle et commença a se malaxer le tympan gauche a la recherche d'une solution. Après plus de 30 secondes de réflexion intensive, il se releva violemment en frappant l'accoudoir de son fauteuil et d'une voix énergique donna ces ordres. Je demande votre attention a tous ! Opérateurs ! Vous allez dispatché tous le chasseur dans les secteurs les plus touchés de la ville, je veux que vous fassiez trois groupes. Le premier partira vers les secteurs les moins touchées, le second ira vers les secteur a risque pour calmer la population et calmer les fauteur de trouble qui pourrait profitée de la situation, le troisième devra être sous les ordre du Major et tout le staff médical. Physiciens ! Vous allez tenter de placer le P.E.02 perpendiculairement au soleil pour que nous puissions disposez d'une source de lumière pendant la restauration du système. Techniciens ! Vous allez transférer toute la puissance dans les générateurs auxiliaires pour avoir le minimum vital le plus tôt possible en attendant la restauration. Vous avez 25 minutes. Informaticiens ! Vous serait charger de la restauration du système, je sais que toute les conditions ne sont pas réuni et qu'une restauration se fait sur la terre ferme, mais vous allez devoirs vous surpassez pour pouvoir la réalisé en plein vol, je vous demanderez de commencer la restauration du système une fois que tout les chasseur seront descendu. Conseiller ! A titre exceptionnel vous allez prêter main forte aux autres membres de l'OPTIC, je me rends à mon bureau sur le champ. Je sais que ce que je vous demande et a la limite de l'irréalisable, mais je sais également que vous pouvez le faire car vous faite parti de l'élite. Ceci sera notre dernière guerre et nous allons pas baissez les bras aussi prêt du but ! Je compte sur vous et… bonne chance !

Deuxième Partie : …New World…



- Lieutenant Badok, me recevez-vous ? Ici Lou Collins, je répète, Lieutenant Badok me recevez vous ?
- Je vous reçois 5 sur 5, Collins. Si un jour quelqu'un m'avait dit que nous allions de nouveau utiliser ces talkie-walkie, je l'aurais prit pour un cinglé !
- Je le sais bien, mais ceci est le seul moyen de communication possible pendant la restauration du système. Plus rien ne fonctionne…et cette satanée pluie qui ne cesse de tomber !
- De la pluie ? Ici, au secteur 24, il n'y a rien... enfin à part quelques flocons de neiges. Le système du générateur climatique est complètement en train de dérailler.
- Oui… et l'obscurité ne va pas nous aider. Je…

Plusieurs explosions sourdes se firent entendre du coté de Lou Collins, Badok prit un ton inquiet en haussant la voix.

- Collins ? Que se passe-t-il ? Vous allez bien ?
- Ca peut aller, c'est un bâtiment du quartier qui vient de s'écrouler entraînant l'explosion des conduites de gaz auxquels il été rattaché. Il pleut des morceaux de béton de partout, c'est le chaos ici, les victimes se comptent par centaines et avec le peu de moyens dont je dispose je ne peux rien faire.
- Ne vous en faites pas, j'arrive avec le matériel médical nécessaire.
- Parfait, faites vite, je me trouve au secteur 22 et d'après ce que j'ai pu voir, il s'agit du secteur le plus touché par l'explosion. Je ne peux rien faire sans l'équipement. Il faut que vous………….
- Collins ? Collins… Lou Collins est-ce que vous me recevez ? COLLINS ME RECEVEZ-VOUS !!!
- …………………….
- Merde !!!

L'état d'urgence étant proclamé, des sirènes disposées à travers toute la ville se mirent à siffler, générant encore plus de panique auprès des citoyens, les lampadaires et toutes les autres sources de lumière grésillaient et sautillaient. Les routes et les bâtiments étaient fissurés par la puissance de l'impact. Des constructions entières se consumèrent par les flammes alimentées par les tuyaux de gaz arrachés. D'autres bâtiments moins solides cédèrent sous les tremblements violents emmenant avec eux les espoirs et les vies de centaines de personnes. Les Chasseurs sortirent du bâtiment hâtivement, mais furent vite pétrifiés par la vue qui leur était offerte. Devant eux là se trouvaient les rues glorieuses de la citée de P.E.02, ne se trouvaient plus que des champs de ruines et des gravas par centaines, peut-être par milliers. Quasiment aucune construction n'avait tenu le choc. Les lampadaires gisaient par terre lâchant parfois des gerbes d'étincelles comme un dernier souffle de vie. La route ressemblait plus à une mer démontée, les vitrines brisées des commerces recouvraient quelques cadavres. Quelques personnes sanguinolentes couraient à la recherche de leurs familles ou amis, D'autres restaient recroquevillées et tremblotantes, les yeux perdus dans la peur. Au loin, les Chasseurs pouvaient distinguer plusieurs bâtiments inclinés sur le cotée à plus de 45 degrés pour certains, manquant de peu de s'écrouler, entraînant ainsi encore plus de victimes.
Une femme s'approcha de Badok les larmes aux yeux avec un bébé mort dans les bras. Elle implorait son aide. Le bébé n'avait plus de visage, soufflé par une conduite de gaz, la mère saignait gravement de la tête. C'était à se demander comment elle arrivait à tenir encore debout avec tout le sang qui la recouvrait et qui devait probablement être le sien et celui de sont enfant. Badok ne savait que faire, il serra très fort les dents tout en essayant de garder son calme. "Par les flammes de l'enfer !!!" C'est tout ce qui réussit à sortir de sa bouche crispée.

L'enfer ! Le mot était lâché, mais ce qui se passait devant eux était bien plus horrible que n'importe quel enfer. Lucifer lui-même serait apeuré par cette vision. Lorsque tout à coup tout s'arrêta. Le Black-out de la réinitialisation venait d'être démarré, plongeant ainsi la ville dans l'obscurité totale. Tout devint sombre et noir. Les bâtiments et autres constructions disparurent dans les ténèbre ne dessinant plus qu'un sombre terrain vague enflammé par la mort. Des ombres malsaines dansaient dans la lueur des flammes. C'est alors que des cris de douleur parvenaient de tout les cotés. Des cris de peur transperçaient le plus épais des blindages. Même les chasseurs les plus endurcis se mirent à trembler à l'entente de ces voix de femmes agonisantes de peur et de douleur. Des appels à l'aide fusaient dans tous les sens. Le P.E.02 "Virginia" était devenu le vaisseau de l'apocalypse.

Un vrombissement sourd se propagea dans tous les vaisseaux, le générateur de secours venait de se mettre en marche, offrant un maigre éclairage bleuté par endroits. Une certaine lueur d'espoir pour quelques chasseurs dépités par le spectacle. Tous serraient les dents pour éviter de faire transparaître leurs émotions et rester stoïque face à leurs devoirs. Badok se retourna vers eux et d'une voix autoritaire donna ces ordres.

- Ecoutez-moi bien ! Je m'adresse à tous ceux qui sont sous mon commandement direct. LPA, tu seras à la tête du groupe Alpha composée de 250 chasseurs et 50 infirmiers, tu quadrilleras le secteur Nord Ouest. Dark Ax, toi tu commanderas l'équipe Zêta ayant la même composition que l'Alpha, ton Secteur sera le Nord Est. Quand à moi je vais rejoindre au plus vite Collins, au centre-ville qui est la zone la plus touchée. Psyho, Hakkai, vous venez avec moi ! Les infirmiers qui transportent le matériel pour Lou Collins veuillez me suivre également ! Pour tous les autres chasseurs veuillez vous référer au Major.
- Lieutenant je voudrais…Dark Ax s'approcha pour demander quelque chose mais il fut hâtivement coupé par Badok.
- Nous n'avons pas le temps Chasseur Dark Ax. Dit-il sur un ton mêlant autorité et énervement. Le Black-out a été lancé il y a exactement 5 minutes, d'après le dernier message de l'OPTIC, les générateurs auxiliaires devront se remettre en marche d'ici 20 minutes. D'ici là il faudra sauver un maximum de citoyens. Des tentes ont été installées par les chasseurs et infirmiers déjà présent sur place. Allez leur prêter main forte. Je vous souhaite bonne chance, et surtout faites très attention a vous ! Ah oui, dernière chose, Les chefs de groupe sont équipés de talkie-walkie. Comme ils n'ont pas servi depuis des lustres, ces antiquités ont une durée de vie quasi nulle. Donc je vous prierais de ne les utiliser qu'en cas d'extrême urgence. N'en abusez pas car ils seront notre seul moyen de communication avant que les générateurs auxiliaires ne se remettent en route.

D'un signe de la main, le Lieutenant Badok donna l'ordre aux troupes de se disperser, à son tour il s'engouffra dans les ruelles sombres en direction du centre où la sécurité de Lou Collins commençait à sérieusement le préoccuper. Malgré la petite distance jusqu'au centre-ville, la marche fut difficile et lente. Car il fallu contourner des parois de bâtiments écroulés en plein milieu de la route, faire attention aux mares d'eau formées par la pluie et dont quelques câbles électriques gesticulaient comme des anguilles surexcitées attendant la moindre proie pour bondir. Leur laborieuse avancée fut ponctuée de plusieurs tremblements et explosions sourdes provenant des divers effondrements non loin d'eux. Pour ne courir aucuns risques, le Lieutenant Badok prenait soin d'examiner les lieux avant de faire avancer son équipe. Personne ne parlait et une ambiance lourde s'était installée dans cette marche à travers une ville ravagée.

Plusieurs infirmiers restaient en arrière pour aider les victimes rencontrées. Les malheureux qui n'avaient pas survécu étaient simplement recouvert d'une bâche blanche et pour peu que l'on ait pu les identifier, leur nom était inscrit à la va-vite sur la toile de la bâche. Ils n'avaient même pas fait 100 mètres qu'ils avaient dû recouvrir près de 30 personnes. Les survivants qui pouvaient marcher les suivaient, pour les autres, ils restaient sur place en compagnie de un ou deux infirmiers. Un petit garçon d'à peine une dizaine d'années pleurait sur le cadavre de ses parents, refusant de partir. Hakkai eu une pensée envers ses deux filles, l'angoisse lui nouait l'estomac, le rendant pâle et l'obligeant à faire une halte.

Tout à coup son souffle devint court, il suffoquait presque. Ses mains se mirent à trembler, Puis les tremblements se propagèrent tels des vagues dans tout son corps. Sa main gauche vint calmer sa main droite. Lentement il reprit son calme, tout en essayant de se persuader que femme et enfant allaient bien. Une main se posa sur son épaule. Il se releva en sursaut. C'était Badok qui était venu lui affirmer avoir eu un message d'une des équipes chargées des alentours du quartier résidentiel de Hakkai. Aux dernières nouvelles, ils sont en lieu sur et vont bien, mis à part sa fille aînée qui a une légère éraflure au bras. Ces paroles vinrent apaiser ses craintes. Il expira un long moment chassant tout le stress et reprit sa marche vers le centre ville. Le convoi de chasseurs et de médecins infirmiers continuait d'avancer lentement à travers les décombres. Badok vérifiait chaque construction avant de faire passer le convoi. Il leur avait ainsi fait éviter deux éboulements et une chute dans une étendue d'eau électrifiée. Plus il s'approchait du centre, plus le nombre de blessés augmentait. Mais le plus désolant n'était pas de voir tout ces morts et blessés. Badok ne put que serrer les dents et froncer les sourcils à la vue de ces petites racailles qui ne trouvaient rien de mieux à faire que de profiter de la situation en dévalisant les magasins dévastés. Ils passèrent dans une avenue commerciale au beau milieu d'une centaine de jeunes en trains de tenir avidement téléviseurs, lecteurs DVD et autres consoles de jeux. Pourquoi volaient-ils ? Le pire est qu'ils y prennaient même du plaisir à le faire. Cela se voyait à leurs petits ricanements et aux regards avides qu'ils portaient à leurs butins mal acquis. Bien sûr, ils y allaient avec leurs lots d'insultes. Un gérant de magasin agonisant dans son sang et appelant a l'aide n'eut le droit qu'à un "Dégage Connard !" de la part d'un jeune qui était en train de casser le peut de chose qui restait et de voler quelques misérables téléphones portables. Badok d'un geste de la main donna l'ordre à un infirmier d'aller porter secours au gérant.

- Lieutenant Badok venez vite voir.
- Qu'est-ce qui ce passe, Psyho ? demanda-t-il en voyant ce dernier s'approcher d'une vitrine brisée donnant sur un magasin hi-fi.
- Un chasseur qui a besoin d'aide, elle est encerclée par une dizaine de jeunes munis d'armes blanches, il faut l'aider. Dit-il hâtivement tout en commencent à dégainer son arme à feu.
- Attend laisse moi voir…

Grâce à son exceptionnelle faculté optique, il parvenait à cerner tout les détails de la scène en un instant. Un intérieur de magasin à moitié carbonisé ou trônait une moitié de pilier en son centre. Les quatre morceaux d'aciers qui servaient à la coulée du béton étaient mis à nus. Des deux cotés se trouvaient des étagères ou étaient disposées des chaînes hi-fi allant progressivement de la plus soft à la plus chère. La plus part, pour ne pas dire la totalité, était noircit par les flammes qui avaient bercés cette pièce peu de temps auparavant. Au fond de la pièce se trouvait le comptoir ayant miraculeusement réchappé à cet enfer. Le mur juste derrière était légèrement calciné par endroits sauf sur le coté gauche où se trouvait un gros trou qui donnait sur l'arrière boutique. Le sol quand à lui était relativement propre, mis à part les quelques débris de hi-fi et morceaux de plâtre mêlés aux plaques de béton craquelé tombant des murs et plafonds. C'était le signe visible que l'incendie et les flammes provenaient d'en haut, probablement de la tuyauterie située entre les deux étages. Ce qui expliquait aussi tout ces trous situés au plafond qui laissaient entrevoir le second étage, ainsi que tous ces morceaux de béton au sol. Les conduites de gaz devaient également passer par le pilier central. Voilà pourquoi ce dernier avait volé en éclat, projetant les débris à une vitesse folle à travers toute la pièce, provoquant ce gros trou derrière le comptoir.

Badok porta enfin son regard sur le chasseur et eu un léger sourire. Elle était encerclée part dix jeunes hommes enragés et armés. Elle se tenait au milieu d'eux les bras croisés ne laissant transparaître aucune émotion, à croire qu'elle attendait le bus. Personne n'osait bouger, chaque homme attendant que son compagnon fasse le premier geste. Une ambiance de plus en plus oppressante s'installait, l'imminence du combat commençait à se faire sentir. Certains commençaient même à transpirer. D'autres avaient le souffle court, comme excités par ce qui aller suivre. Le chasseur finit enfin par bouger, le plus lentement du monde elle attrapa son arme qui se trouvait dans son dos. Son arme était une magnifique lance d'environ deux mètres. La lame était à double tranchant et la crosse décorée de symboles aux formes arrondies, peut-être des flammes, mais Psyho n'arrivait pas trop à les distinguer à travers la pénombre. Ce n'était pas une arme ordinaire et ceci il s'en aperçu directement. Psyho pu y apercevoir un symbole gravé directement sur la lame. Un "A" dans un cercle en lettre capitale. Le cercle était plus petit que la lettre elle-même et le tout donnait l'impression d'avoir été peint à la va-vite par un artiste en quelques coups de pinceau, Le symbole obtenu donnait une image agressive. Psyho en eut un frissonnement.

- Qui est-elle ? demanda-t-il sans la quitter des yeux
- Je ne connais pas son nom, mais elle se fait appeler "Nimbus".
- Nimbus ? Mais le symbole avec le "A", j'aurais pensé qu'il s'agissait de l'initiale de son prénom ou de son nom ?
- Haha ! Le symbole n'a rien à voir. Ce symbole est la signature de tout chose créée par Dan Backalley, regarde mieux ton armure, tu y verras le même symbole, comme sur mon manteau. Badok releva son col et effectivement le même symbole y était apposé.
- On devrait l'aider, elle ne pourra jamais y arriver toute seule. On dirait qu'elle essaye de cacher sa peur avec ce visage sans expression.
- Ne t'inquiète pas pour elle. Même si en sept années, je ne l'ai pas entendu ni parler, ni sourire, ni émettre une quelconque émotion, elle fait parti de l'élite de ce vaisseau et ces dix petits jeunes n'ont pas intérêt a l'approcher s'ils tiennent à leur vie.
- Tu es sur ? Ca fait du 10 contre 1 quand même.
- Fait moi confiance, remettons-nous en route, nous sommes bientôt arrivés.
- Si tu le dis. Psyho n'avait pas l'air convaincu et aurait préféré rester en cas de besoin.

Nimbus toujours aussi impartiale et immobile se tenait au milieu de ces électrons survoltés qui commençaient à tourner autour d'elle tout en ricanant. Un des hommes, probablement le leader du groupe, fit un signe de la tête à un de ses collègue situé derrière le chasseur. Ce dernier s'exécuta et c'est le bras armé d'une barre de fer qu'il s'élança à toute vitesse pour surprendre Nimbus par derrière.

Nimbus se tenait au milieu de ses assaillants comme prête à se faire dévorer, Elle ferma lentement les yeux et baissa lentement son visage. Sa mâchoire se contractait de plus en plus, elle serrait les dents de toutes ses forces, ne laissant transparaître aucune émotion. Après une profonde inspiration elle rouvrit lentement les yeux avec la force du désespoir. Ses yeux au couleur d'un jade épuré reflétaient ses assaillants au milieu des décombres. Une mèche vint troubler cette vision. Sa pupille se dilata pour faire la mise au point. Elle aperçu ce gangster de bas étage qui lui faisait face depuis tout à l'heure s'avancer vers elle. Son regard s'abaissa à nouveau, comme résignée devant son sort, elle referma une fois de plus ses paupières. "Pourquoi ?" Cette question résonnait dans sa tête, vague souvenir de son passé lointain. "L'homme se plait dans la perversité, elle lui donne une puissance sadique qui le glorifie et le fait se sentir important. Au détriment de son humanité elle-même" L'écho de ces deux phrases se répétait sans cesse dans sa tête, il s'amplifiait et devenait de plus en plus fort. Puis tout un coup il disparut aussi vite qu'il fut apparu. Elle ouvrit brusquement les yeux, les pupilles complètement dilatées.

Son souffle devint court, lorsqu'elle s'empara de son arme, elle se mit presque à suffoquer, ses mains tremblaient. Par peur ? Par excitation ? Son visage, mis à part un regard exorbité, ne laisser rien transparaître. Nimbus parvint à se calmer et se figea telle une statue romaine. Elle se tenait debout les jambes légèrement écartées avec son arme pointée en face d'elle. La petite frappe s'approchât un peu plus avec un sourire sadique aux lèvres. Il attrapa le manche de l'arme avec ses mains et tenta de le retirer des mains de Nimbus qui restait toujours immobile. Mais cette dernière résista. Elle tenta à sont tour de récupérer son arme par de brefs coups rapides en sa direction, mais son adversaire était beaucoup trop musclé pour céder. Elle déglutit bruyamment lorsqu'elle sentit l'autre arriver par derrière. Le reste de la bande se complaisait de la scène en poussant des petits ricanements malsains. Le gaillard qui lui séquestrait son arme devait à peine avoir 19 ans tant son visage était lisse. Malgré le fait qu'ils étaient chauves et troués de piercings en tout genre, on aurait cru un fils de bonne famille qui aurait mal tourné. Ces mains étaient lisses comme son visage, elles n'avaient jamais travaillé, elles étaient encore pures. Il ne devait être qu'une nouvelle recrue fraîchement récupérée par le gang du coin. Pourquoi se plaisait-il tant à faire le mal ? Pourquoi avoir choisi cette voie ? Nimbus se posait trop de questions. Elle ne pouvait pas comprendre… Son mutisme était en parti dû à ça, ne pouvant ni prévoir, ni comprendre les êtres humains, elle préférait se taire. Une larme se forma dans son regard et l'image se floua presque automatiquement rendant, pendant un bref instant un aspect "gentil garçon" à celui qui se trouvait en face d'elle. Elle criait intérieurement "non ! Non !! Non !!! Ne te suicide pas ! Ne fait pas comme tous les autres !!!" Mais il n'y avait pas d'autre choix.

Elle essaya une dernière fois de récupérer son arme, mais en vain. Lorsqu'elle estima que la distance la séparant de celui qui arrivait dans son dos était suffisante. Nimbus s'éleva dans les airs en tournoyant sur elle-même. D'un puissant coup de son pied droit, jambe tendue, elle frappa l'extrémité de sa lance. Le jeune garçon ne put contenir la force du coup et se planta lui-même la lance dans son plexus lui faisant cracher une gerbe de sang avant de s'écrouler par terre. Tout en frappant la lance, Nimbus atomisa la mâchoire de celui qui arrivait par derrière par un coup de genou bien placé. Il tomba à son tour, la nuque brisée et la mâchoire désossée. Ni une, ni deux, elle reprit son arme et se pressa de finir le travail. Elle fonça à toute vitesse sur les 8 personnes restantes qui avaient fini de ricaner depuis longtemps. Certains n'osaient même plus bouger. Nimbus fit tournoyer son arme au-dessus de sa tête avant de porter un coup circulaire qui trancha la tête de deux des personnes. Le sang se mit à gicler à flots, plongeant la pièce dans une ambiance morbide à l'odeur acre. Un des bandits s'approcha d'elle avec un maigre couteau à peine aiguisé. Nimbus fit valser plusieurs fois sa lance de gauche à droite tout en avançant. A chaque rotation quelques centimètres de plus de l'avant-bras fut tranché. Une fois arrivée au coude, Nimbus pivota sur elle-même en s'accroupissant accompagnée du mouvement de sa lame et trancha les deux mollets de la personne. Cette dernière criait de toutes ses forces, faisant trembler de peur les survivants. Une d'entres elles fut aspergé de sang et se mit à vomir toutes ses tripes. Sans remord, Nimbus lui planta sa lame froide dans le dos et instantanément son vomi fut mélangé a une rivière de sang. Prenant appui sur le cadavre, elle fit un salto vers trois autres personnes qui allaient bientôt lui faire face. Lorsque son pied gauche retoucha le sol, elle prit appui dessus pour ressortir la lance du corps et la fit accompagner avec son pied droit dans une autre rotation vertical, dont la lame vint trancher en deux parts égales une autre personne qui n'eut même pas le temps de pousser le moindre cri. Chacun des deux morceaux tomba dans les bras de leurs collègues encore debout. Ils se mirent à hurler a la mort, les yeux imbibés de larmes de désespoir. Avec une voix complètement déraillée, ils imploraient pitié de toutes leurs forces. Mais il était trop tard. En deux coups circulaires, Nimbus leurs décalqua le cerveau qui se mit à voltiger sur plusieurs mètre avant de retomber dans un bruit flasque au milieu d'une mare de sang. Il ne restait plus qu'un seul survivant qui voulu prendre ses jambes à son cou. Mais Nimbus projeta sa lance vers lui. Elle lui transperça la trachée artère avant de l'encastrer dans le mur, maintenant le corps dans une position verticale. Avant de succomber, il appela sa mère dans un dernier souffle de vie. Le sang coulait le long de son corps abreuvant encore un peu plus la marre qui s'était formée. Des intestins et autres boyaux étaient éparpillés dans la pièce. Nimbus prit une profonde inspiration avant d'aller chercher son arme. Une fois décroché, le corps sans vie du jeune garçon tomba lourdement dans un bruit sourd, Sur son visage on aurait pu croire qu'il venait de voir le diable en personne. Elle s'abaissa pour le dévisager une dernière fois avant de lui fermer les yeux. En se relevant elle entendit sont talkie-walkie se mettre en route.

- Nimbus, tu me reçois ? Nimbus ? Ici Okajin si tu me reçois, rejoins nous à la section B4, nous avons besoin de renfort les gangs du quartier ont décidé de passer à l'action ton aide nous sera précieuse. Je t'attends au plus vite, si tu as entendu ce message appuie deux fois brièvement sur "Talk"… … Parfait, je t'attends avec Dark, fait vite !

Avant de se mettre en route, elle sorti une sorte de vielle photographie de sa poche intérieure, qu'elle regardait avec beaucoup d'attention. Après un long moment de silence et une fois la photographie rangée, elle prit la direction de la section B4.

Troisième Partie : … In Peace ?



- Vite préparer dix gramme d'adrénaline pure, dépêchez, on va le perdre !
- Sergent Lou Collins, J'ai besoin de vous tout de suite !
- Qui y a-t-il ?
- Ce garçon et mal en point, est-ce que vous pouvez l'ausculter ? Je vous en prie, c'est un très bonne ami a moi !
- Laissez moi regarder… Rien de bien grave, deux côte casser et une cheville tordu, poser lui une attele, pour les côte ca devra attendre !
- Sergent, quatre traumatisme crânien, ils ne réagissent pas a l'endorphine… je vais les perdre…
- Choquer les !
- Mais cela risque de les tuer…
- CHOQUER LES ! Vous ne voyez pas que ce sont des vampires ? ils sont déjà morts, le seul moyen de les ramener et de leurs choquer le cerveau !
- A vos ordres !
- Je veux deux civière ici, un cas de gangrène possible, emmenez le en radio, il faudra probablement lui couper la jambe.
- A vos ordres !

Lou Collins, la sueur au front auscultait a tour de bras et donner les ordres pour que les médecins et chasseur disponible s'occupe des victimes. La petite infirmière au visage innocent et doux laissait place au visage sévère d'un sergent preocuppée par ses troupes. En sept années de service, personne ne l'avait appelé sergent, il faut dire que Lou n'aimait pas trop exercer son pouvoir, elle se sentait mieux dans son rôle de simple infirmière. Comme elle se répète à le dire souvent "Sergent… Sergent… C'est un bien grand mot, je resterai toujours ce que je suis. Je ne veux pas être traitée en tant que supérieur hiérarchique mais en temps qu'amie" Quoi qu'ils en soient elle ne peut dédaigner ces tallent de meneuse d'homme ainsi que ça connaissance autant scientifique que médical. Elle continua a déambuler a travers les gravas tout en évitant les foyer de flammes qui jaillissaient de toutes part. Les cris et les appels à l'aide l'hérissaient au plus haut point. Elle devait faire vite car chaque seconde comptait. Combien en a-t-elle sauvé ? 50 ? 60 ? Depuis une heure elles ne compte plus les victimes et cadavres retrouver. Ils en sortaient de partout, comme une invasion de fourmi. Elle ne faisait pas que donner des ordres, elle vérifier méticuleusement chaque dose de médicament administrer. Pour éviter tout problème et effet secondaire. Elle se dirigea vers un jeune infirmier qu'elle voyait avoir du mal à remplir une seringue.

- Besoin d'aiguillage ? fit-elle le sourire au lèvre comme fière de son humour perçant
- Ca… devrait aller. Je lui administre une petite dose d'adrénaline frappée.
- Très bien et pour celui-ci que préconiser vous ?
- Mmm… Selon les symptôme post-traumatique primaire je préconiserai une ampoule de Hydroxy-4' acétanilide.
- Sous quel forme ? Continua-t-elle de questionner la jeune recrue
- Sou antipyrétique par voix orale de 10 milligrammes. Répondit-il très sur de lui
- Vous ne devriez pas. Lui conseilla Lou
- Pour quel raison ? le Hydroxy-4' acétanilide et un paracétamol métabolite actif de la phénacétine, ce qui est très justement approprier pour ce cas.
- Faux, car sous forme antipyrétique, il agit sur le centre thermorégulateur hypothalamique en inhibant l'action des pyrogènes endogènes et la synthèse des prostaglandines. Il agit aussi directement sur l'hypothalamus provoquant une augmentation des pertes caloriques. Il est vrai que le choix et judicieux, mais on lui reconnaît des effets secondaires asthmatique. Regardez ce qu'il tien dans sa main droite. Un inhaleur contre les crises d'asthmes. Si vous aviez administrez se médicament, il serait probablement mort d'asphyxie.
- Je…
- Ce n'est pas grave, mais la prochaine fois assister a mes cours au lieu de vous rendre au troqué du coin en croyant avoir la science infuse !
- Je suis désolé. Je ferais plus attention… Badok arrivant avec les renforts interrompt la scène.
- Sergent Lou Collins. Par les sept enfers vous allez bien !
- Ha non, je tes déjà dix cent fois de ne plus m'appelez sergent, et oui je vais bien et arrête de me vous voyez, tu veux ?
- Très bien, mais pour le moral des troupes et maintenir de la rigueur je pense qu'il sera préférable de…
- Au diable tes préférence…
- Toujours la langue bien pendue a se que je vois…
- Nous n'avons pas le temps de nous chamailler pour des futilités, ce n'est ni le lieu ni le moment de plaisanter.
- Oui Sergent ! Dit-il au et fort tout en se mettant au garde a vous.
- BADOOOOOK !!! tu me… Lou souffla un grand coup évacuant toute la pression, elle reprit d'une voie plus calme. Laisse tomber…. Disperse tes homme, je veux qu'il vérifie s'il n'y aurait pas encore des personnes coincer sous les décombre ou dans les immeuble qui tienne encore debout. Quand a vous les infirmier et médecins suivez moi. Je vais vous indiquer le chemin vers les tentes de rapatriement. Vous ferez attention sur la place centrale, le sol et extrêmement glissant et l'obscurité n'arrange rien.
- A ce propos, le courant devrait être rétablie dans moins de 5 minutes, les ambulances seront opérationnelles pour transporter les plus touchée dans un centre de soin. D'ici la je te t'assure que le tour du quartier aura était passer au peigne fin…

Badok dispersa ces hommes à travers tout le quartier, ainsi que Hakkai et Psyho qui devait investir un immeuble de 5 étages calciner par un incendie dévastateur.

L'immeuble en question avait les murs et plafonds craqueler par endroit. Quelque marre d'eau se trouver sur le sol reflétant les ténèbre. La visibilité ne dépasser pas les dix mètre. Certaine porte des appartement était arracher et calciner au sol. D'autre tenait sur un seul gond se balançant au rythme des courant d'air dans un grincement a vous donnez la chair de poule. Psyho et Hakkai décidèrent de se séparée pour aller plus vite. Psyho se chargera des étages paire et Hakkai des étages impairs. Tout deux avancèrent a tâtons armes aux poings. Il y avait toujours un risque qu'un déséquilibrer surgissent de la pénombre. Les couloir ténébreux et vide faisaient résonnée les pas des deux chasseur dans un bruit sourd qui sembler se répéter a l'infini. Ces appartements et ces couloirs se rapprocher plus d'une profonde caverne. Les mur suintée l'eau et le souffre. Divers objet était partiellement réduit en cendre. Psyho reconnu une poupée de cire a moitié fondu, lui donnant un coter psychopathe dans le regard. Les 2 premiers étages furent inspectés dans les moindres détails. Hakkai s'apprêter à monter au 3em lorsque un grondement sourd lui parvenait aux oreilles. Les générateurs du P.E.02 sont de nouveau opérationnels et le courant allait être rétablie d'un instant à l'autre. Psyho vu a travers une fenêtre les quartier de la ville se rallumer les un après les autre. Mais lorsque le tour du quartier ou il se trouver était venu, Psyho eut une drôle de surprise. Les ampoules endommagées par l'incendie explosèrent les une après les autre dans un bref éclair blanchâtre. Il se mit la main devant le visage pour éviter de se prendre un morceau de verre. Psyho en sentit quelque un ricochet sur sont gant de cuir. Après avoir entendu des cris de joie dans la rue et s'être assurer que plus aucune ampoule aller lui sauter au visage. Il reprit le chemin.

Dans l'appartement suivant, une fenêtre donner sur la rue ou Lou Collins et toutes l'armada des infirmiers travaillée. Il eut un bref sourire. La pièce était éclairée par intermittence par une ampoule défectueuse qui provoquée des petits grésillements. Il s'apprêtait à inspecter la chambre, lorsque sur le pas de la porte il vit une ombre se positionner a son approche. Par automatisme, mais surtout par peur. Psyho le pointa directement avec son arme. Il s'agissait d'un homme dont le visage était masqué par la pénombre.

- Qui va la ? Hurla Psyho, l'arme prête a tiré.
- Voila une bien étrange façon de parler de la part d'un chasseur. N'as-tu rien retenu lors des exercices sur les interpellations ? Dit-il d'un ton calme
- Qui étés-vous ? Déclinez votre identité ? Somma Psyho en abaissant le chien de l'arme.
- Haha ! Nous ne sommes pas dans un film ! Ricana-t-il avant de reprendre. Si tu veux voir qui je suis approche un peu pour voir !

Sur ce Psyho approcha l'arme toujours pointer vers sa cible. Il commencée a trembler légèrement a cause du stress. Il est belle est bien un chasseur, mais n'ayant suivi aucun entraînement sur les interpellation, il est un peu prit au dépourvue. Le visage de l'homme commençait a se démasquer peu a peu. L'arme de Psyho allait presque toucher la poitrine de l'homme, lorsque se dernier eut son visage totalement découvert par la lumière provenant de la rue. Psyho fronça les sourcils et eut l'iris contracté, par réflexe, il fit un bond en arrière et sa voix semblée perplexe.

- Mais… Mais tu… Tu…. Il n'en trouva pas les mot face a sa vision.
- Je… Je… Oui ? Dit l'homme s'amusant de la peur et de l'incompréhension de Psyho
- Tu… me ressembles tellement !
- Et il n'y a que maintenant que tu le remarques ? Franchement j'en attendais un peu plus de toi. Bon il faut dire que la dernière fois que tu ma vue, j'étais un peu prit au dépourvue.
- Oui… Tu es le jeune homme que j'ai vu a l'hôpital, je me reconnaît… enfin je veux dire je te reconnaît. Mais comment se fait-il que… Psyho semblait de plus en plus perdu au fur et a mesure qu'il dévisagée L'homme en question
- Comment se fait-il que je te ressemble ? Alors premièrement, j'ai les cheveux plaquer en arrière et pas un brushing comme toi, deuxièmement, Je ne perds pas mon latin des que je ne comprend pas une situation et troisièmement tu a entendu parler des doublons génétique ? Certes il y a des milliards et des milliards de possibilité lors de la création de l'ADN, mais il est toujours probable que deux êtres bien distincts se ressemblent fortement. Heureusement cette ressemblance s'arrête au physique. L'esprit est une question un peu plus complexe. Tu devras te contenter de cette solution pour le moment. Car il est encore trop tôt pour toi.
- Trop tôt ? Que voulez vous dire ? Vous me connaissez ?
- Si tu commencer d'abord par baissez ton arme, je pourrai peut être répondre a tes question de façon plus… amical.
- Pardon ! Dit Psyho en rangeant son arme dans son étui tout en rabaissant le chien.
- Viens prêt de la fenêtre. Ordonna-t-il. Est-ce que je te connais ? Oui si l'on veut. Tu es un chasseur sous les ordres du Lieutenant en Chef Zo Rro. Tu étais avant cela un étudiant en sociologie, amnésique, tu recherches le passée depuis des années, mais personne ne semble te connaître sur ce vaisseau. Mais répond tout d'abord a une de mes questions, regard par la fenêtre toute cette désolation, Pourquoi continue-tu de te battre ?
- Lorsque nos rêves se brisent et deviennent du verre pilé, nous lacèrent le visage, il faut regarder en face de nous avec la rage de l'espoir et non le coeur empli de désespoir ! je pense que ça résume très bien ma façon de pensée et d'agir !
- Intéressant...
- Je trouve une chose très bizarre maintenant que je vous vois.
- Ha ? Qu'est-ce donc, jeune chasseur ?
- Pourquoi personne ne semble me connaître ou reconnaître alors que notre ressemblance est si frappante. Même les plus hautes administration non aucun dossier sur ma personne. Mais ce qui me trouble le plus… Psyho marqua une pause en portant son regard loin sur la ligne d'horizon.
- Oui ?
- Ce qui me trouble le plus et que personne ne ma confondue avec votre personne a aucun moment. Pourtant d'après l'insigne sur votre épaule gauche, vous êtes le Major de ce vaisseau.
- Mmm… ta perspicacité et ton sens du détail m'impressionnent. Mais cela s'explique très facilement.
- Je vous écoute !
- Je ne dis pas ça pour te vexer, mais il y a tout d'abord la prestance. Comment quelqu'un pourrait m'imaginer en survêtement, complètement décoiffer, comme si je venais de tomber du lit. Réfléchit a ce que les gens se sont dit a ce moment. "C'est marrant il ressemble au Major, mais ça peut pas être lui vu l'accoutrement de ce jeune homme" tu n'est pas d'accord ?
- Oui vous avez raison, mais ensuite ?
- Ensuite ?
- Oui vous avez utilisé le terme "Tout d'abord", donc il y a une suite a votre explication.
- Non seulement perspicace, mais attentif en plus… Pour la suite, il est encore trop tôt.
- Comment ça trop tôt, ça fait deux fois que vous le dite.
- Il est trop tôt pour te révéler ton passé.
- … Psyho le regarda d'un air ébahit complément paralysée par ce qu'il venait d'entendre. Ce Major détenait son passée. La chose qu'il recherche depuis tant d'années. Psyho reprit la gorge nouée par les émotions qui déferler. Qui… qui est-tu réellement ?
- Je suis moi et tu es toi, nous ne formons qu'un. Dit-il avec un sourire limite sadique.
- Quoi ? Psyho fronça les sourcils comprenant de moins en moins à la tournure de la discussion
- Je te l'ai dit et redit, il est encore trop tôt. Le major perdit son regard a son tour sur l'horizon.
- Je vous en prie, dite moi ce que vous savez a propos de mon passée !!!
- Tu veux connaître ton passée ? Alors touche moi et tu le découvriras… Mais il est encore trop tôt, tu n'es pas prêt. Le Major enleva un de ces gant et tendit sa main gauche doigt écartée vers Psyho. Allez… Qu'est-ce que t'attend maintenant, ton passée et a porter de doigt. Mais réussiras-tu à supporter le poids de ton passée ? Veux-tu vraiment connaître ton passée ?

C'était une occasion qu'il ne pouvait pas rater, même si ce petit jeu lui sembler complètement délirant, il décida de le faire sans trop y croire. Psyho enleva a son tour le gant de sa main gauche et l'approcha lentement doigt écarter contre celle du Major.

- Juste les doigts, n'appose pas la paume ou tu risques d'y rester !

C'est parole prononcer par le Major n'eurent pour effet que d'accentuer les tremblement et la respiration de Psyho. Il n'était plus qu'a quelque millimètre de son épiderme. Il sentait une énergie bizarre s'en dégagée. Lorsqu'il avait effleuré les doigts du Major, c'est comme si une ligne à haute tension lui passer a travers tout le corps. Il avait a peine effleurer moins d'une seconde que Psyho s'écroula brusquement sur le sol.

- Je t'avais prévenu ! Le Major s'agenouilla, remit son gant soigneusement et prit Psyho sous son épaule… Et en plus je vais devoir te porter. Tu n'imagines même pas l'honneur que je te fais.

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